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24 mai 2013 5 24 /05 /mai /2013 19:01

Le 17 mai dernier, l'un des plus grands salauds d'Argentine, Jorge Videla, est mort dans sa cellule, sur les WC semble-t-il! Un grand merci à la mort d'avoir tiré la chasse d'eau pour nous libérer de cette chiasse humaine qui a empuanti l'Argentine de 1976 à 1981. Rappelons en effet que ce dictateur a été à la tête d'une junte militaire qui a fait disparaître pas moins de 30 000 personnes selon les organismes de défense des droits de l'homme. Une junte dont la grande spécialité restera le larguage depuis des avions d'opposants dans le Rio de la Plata, le fleuve qui sépare l'Argentine de son voisin l'Uruguay. Autant de crimes commis, soulignons-le, avec l'assentiment des Américains et, en particulier, d'un certain Henry Kissinger, une fripouille pour laquelle on espère que la mort ne tardera pas trop à tirer la chasse. 

 

Ce ramassis d'ordures, à l'image de Pinochet et de ses sbires au Chili qui, trois ans plus tôt, avait renversé le Président Salvador Allende, élu démocratiquement - n'en déplaise à certains - prétendait défendre la civilisation catholique occidentale en particulier contre les communistes. Toute ressemblance avec les cathos du "Printemps français" qui vont s'aérer une nouvelle fois dans les rues de Paris dimanche est évidemment purement fortuite. Remarquez, on peut les comprendre, tant les églises puent l'encens et le renfermé! Un bon bol d'air, cela n'a jamais fait de mal à personne. 

 

En tirant la chasse d'eau des WC, la mort vient donc d'expédier ce salaud de dictateur catholique vers un néant où d'autres nombreuses personnes "toxiques" pour l'humanité l'ont précédé, Margaret Tas de chair (prononcez Thatcher) étant la dernière en date. Ayons une pensée émue pour ces légions d'asticots qui, après s'être héroiquement attaqués à de la vieille carne anglaise en avril dernier, vont devoir à présent se taper cette bidoche argentine décrépie. C'est à vous dégoûter de manger de la viande argentine! "Qu'ils le jettent à la mer", ont conseillé certains Argentins! Et que faites-vous des poissons ? Finalement, même mort, cette vermine de Videla continue de déranger. Certes, la mort à tirer la chasse d'eau. Mais elle a oublié que ce genre de chiasse humaine colle à la tasse. Or personne ne veut passer la balayette, de peur de se salir les mains. 

 

Le Tribun en colère

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